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Breizh attitude
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Breizh attitude
Hi.
Cette série du Télégramme, tente de faire comprendre le redoutable humour Breton aux voisins Français et d'ailleurs, avec ses définitions, ses tournures de phrases et ses mots empruntés à notre langue originelle.
.
Notre série « Tu es breton si... » n'a pas seulement pris ses quartiers d'été en dernière page, pendant une semaine. Elle a aussi été déclinée sur le web où les internautes étaient invités à donner leur propre définition. Alors, tu es breton si quoi... Nous avons sélectionné pour vous les propositions les plus originales. Et à lire ça, du plaisir vous aurez. Ou alors, c'est que vous n'êtes pas breton !
Pas de surprise. Tous les sujets qui touchent à la Bretagne font un joli score sur le web et plusieurs centaines de propositions se sont additionnées. Il est vrai qu'avec la météo, le vocabulaire, les habitudes alimentaires et toutes les caractéristiques bretonnes, il y a à dire ! Dans le lot, on n'aura pas échappé aux deux ou trois habituels pisse-vinaigre qui se sentent obligés de sortir leur vieille arquebuse dès qu'il est question de la Bretagne et des Bretons. Passons. Et venons-en aux propositions que nous avons retenues sur le double critère de l'originalité et l'humour, même si ce n'est pas du Ronsard. Vous voilà prévenus !
Un mneu, mon neveu !
En hors-d'oeuvre, démarrons par un sujet qu'il faut aborder avec modération et qui a suscité nombre de propositions. On les résume dans cette définition à lire d'un seul trait, sans reprendre sa respiration : « Tu es breton si tu prends des ribines - chemins de traverses - pour aller en riboul - faire la fête - et que le lendemain il te faut un louzou - médicament - parce que t'es dans le lagen - vaseux - avec ta tête à moitié en distribil - qui penche dans tous les sens - et tes cheveux tout à dreuz - qui ne tiennent pas -». Bon, ça c'est fait !
Au menu, nous avons également du plat de résistance un brin roboratif : « Tu es breton si tu manges ton couscous avec du pain beurre et que tu dis, malesdoue - plutôt : malasdoué -, il est bon ton rata ». Ou encore : « Si tu as fait une attaque poulout à cause d'un excès de lipig dans le kig ha farz au dernier fest-noz, koaaa ». Avouez qu'à défaut de tout comprendre, les sonorités sont évocatrices.
Sans changer d'accent, on relève également :
- Tu es breton si tu sais manger ta crêpe à l'endroit.
- Si tu dis souvent impeccab !
- Si au lieu de dire pneus, tu dis je vais changer mes mneus.
- Si tu dis à ta nièce qu'elle a de belles cuches et que tu as koagué ta voiture.
- Si tu manges une galette-saucisse en regardant une course de vélo.
- Si tu dis pochon - pochon, c'est plutôt Vendéen - au lieu de sac en plastique.
T'as eu le coussin ?
On élargit un peu le registre avec ces autres définitions :
- Tu es breton si tu mets « quoi » à la fin de toutes tes phrases, quoi ! - plutôt : Gast ! -.
- Si tu ne payes pas les routes.
- Si, au camping, tu regardes tous les autres numéros d'immatriculation. Variante : si partout où tu vas, tu cherches la petite bigoudène sur les voitures.
- Si tu aimes sortir de la Bretagne et encore plus y revenir.
- Si tu t'appelles Meriadeg Kerhascoët.
- Si tu réussis à passer entre les gouttes.
- Si tu râles contre le crachin d'hiver mais que tu adores les tempêtes.
- Si tu sais traiter tes prochains de pen kaled, torpen, voire même torrer.
Et dans le domaine de la pédiatrie traditionnelle, cette définition qui rappellera quelques souvenirs : « Tu es breton si, toi aussi, on t'a collé un coussin d'abduction entre les jambes dès ta naissance pour prévenir une luxation de la hanche ! ».
Un coup des Normands
Dans notre sélection, on relève encore « T'es breton si tu dis « à bloc Jean-Floch » ou encore si « t'es abonné au Télégramme » (fayot !). Et on constate que notre site web a été infiltré par des agents extérieurs quand on tombe sur cette définition inattendue : « Tu es breton si tu jalouses la perfection des Normands ». P'têt ben qu'c'est une provocation.
Et pour finir, on avoue avoir un petit faible pour cette définition subtile car à double détente : « Tu es breton si dans un restaurant, tu demandes du sel parce qu'il n'y a que du beurre doux à table et que le serveur te répond "Vous êtes breton ?"
A voir aussi :
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et :
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Voir aussi :
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Chan.
Cette série du Télégramme, tente de faire comprendre le redoutable humour Breton aux voisins Français et d'ailleurs, avec ses définitions, ses tournures de phrases et ses mots empruntés à notre langue originelle.
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Notre série « Tu es breton si... » n'a pas seulement pris ses quartiers d'été en dernière page, pendant une semaine. Elle a aussi été déclinée sur le web où les internautes étaient invités à donner leur propre définition. Alors, tu es breton si quoi... Nous avons sélectionné pour vous les propositions les plus originales. Et à lire ça, du plaisir vous aurez. Ou alors, c'est que vous n'êtes pas breton !
Pas de surprise. Tous les sujets qui touchent à la Bretagne font un joli score sur le web et plusieurs centaines de propositions se sont additionnées. Il est vrai qu'avec la météo, le vocabulaire, les habitudes alimentaires et toutes les caractéristiques bretonnes, il y a à dire ! Dans le lot, on n'aura pas échappé aux deux ou trois habituels pisse-vinaigre qui se sentent obligés de sortir leur vieille arquebuse dès qu'il est question de la Bretagne et des Bretons. Passons. Et venons-en aux propositions que nous avons retenues sur le double critère de l'originalité et l'humour, même si ce n'est pas du Ronsard. Vous voilà prévenus !
Un mneu, mon neveu !
En hors-d'oeuvre, démarrons par un sujet qu'il faut aborder avec modération et qui a suscité nombre de propositions. On les résume dans cette définition à lire d'un seul trait, sans reprendre sa respiration : « Tu es breton si tu prends des ribines - chemins de traverses - pour aller en riboul - faire la fête - et que le lendemain il te faut un louzou - médicament - parce que t'es dans le lagen - vaseux - avec ta tête à moitié en distribil - qui penche dans tous les sens - et tes cheveux tout à dreuz - qui ne tiennent pas -». Bon, ça c'est fait !
Au menu, nous avons également du plat de résistance un brin roboratif : « Tu es breton si tu manges ton couscous avec du pain beurre et que tu dis, malesdoue - plutôt : malasdoué -, il est bon ton rata ». Ou encore : « Si tu as fait une attaque poulout à cause d'un excès de lipig dans le kig ha farz au dernier fest-noz, koaaa ». Avouez qu'à défaut de tout comprendre, les sonorités sont évocatrices.
Sans changer d'accent, on relève également :
- Tu es breton si tu sais manger ta crêpe à l'endroit.
- Si tu dis souvent impeccab !
- Si au lieu de dire pneus, tu dis je vais changer mes mneus.
- Si tu dis à ta nièce qu'elle a de belles cuches et que tu as koagué ta voiture.
- Si tu manges une galette-saucisse en regardant une course de vélo.
- Si tu dis pochon - pochon, c'est plutôt Vendéen - au lieu de sac en plastique.
T'as eu le coussin ?
On élargit un peu le registre avec ces autres définitions :
- Tu es breton si tu mets « quoi » à la fin de toutes tes phrases, quoi ! - plutôt : Gast ! -.
- Si tu ne payes pas les routes.
- Si, au camping, tu regardes tous les autres numéros d'immatriculation. Variante : si partout où tu vas, tu cherches la petite bigoudène sur les voitures.
- Si tu aimes sortir de la Bretagne et encore plus y revenir.
- Si tu t'appelles Meriadeg Kerhascoët.
- Si tu réussis à passer entre les gouttes.
- Si tu râles contre le crachin d'hiver mais que tu adores les tempêtes.
- Si tu sais traiter tes prochains de pen kaled, torpen, voire même torrer.
Et dans le domaine de la pédiatrie traditionnelle, cette définition qui rappellera quelques souvenirs : « Tu es breton si, toi aussi, on t'a collé un coussin d'abduction entre les jambes dès ta naissance pour prévenir une luxation de la hanche ! ».
Un coup des Normands
Dans notre sélection, on relève encore « T'es breton si tu dis « à bloc Jean-Floch » ou encore si « t'es abonné au Télégramme » (fayot !). Et on constate que notre site web a été infiltré par des agents extérieurs quand on tombe sur cette définition inattendue : « Tu es breton si tu jalouses la perfection des Normands ». P'têt ben qu'c'est une provocation.
Et pour finir, on avoue avoir un petit faible pour cette définition subtile car à double détente : « Tu es breton si dans un restaurant, tu demandes du sel parce qu'il n'y a que du beurre doux à table et que le serveur te répond "Vous êtes breton ?"
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Chan.
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